Les empêchements
de Isabelle Flaten

Les empêchements de Isabelle Flaten
Date de parution :10 mai 2012
Nombre de pages :78
Prix :10 €
ISBN :978-2-918619-08-6
Genre :Nouvelles

Le livre

Un homme auréolé de gloire mais qui se sent minuscule. Des enfants rêveurs qui s’étonnent des silences d’adultes perdus dans un monde flou. Des hommes vieillis qui ne se résignent pas à être sans âge, des femmes dont la disgrâce démultiplie les extases. Des corps qui s’entremêlent pour tenter d’abolir les fracas du temps.

Dans ces nouvelles au trait vif, sensuel et cru, Isabelle Flaten saisit la fulgurance des désirs et la brûlure des non-dits pour réenchanter un quotidien fait de blessures et de petits renoncements qui, soudain, redevient flamboyant.

L’auteur

Isabelle Flaten vit à Nancy. Elle est l’auteur de L’Imposture (co-écrit avec Anne Gallet), publié à La dernière goutte.

L’illustrateur

Auteur de nombreuses bandes dessinées, parues entre autres chez Atrabile, à La Cafetière, aux Requins Marteaux, chez Delcourt et à l’Association, Baladi crée des univers foisonnants où l’étrange tutoie l’absurde.

Illustration de Baladi pour Les empêchements d'Isabelle Flaten

Actualités

Les empêchements d’Isabelle Flaten dans la sélection finale du Prix Boccace de la nouvelle 2013.

Isabelle Flaten est l’invitée de la librairie Quai des brumes (Strasbourg) le mercredi 19 septembre 2012 à partir de 18h45.
Lucas Bléger et Hélène Hoohs, comédiens, liront des extraits de son recueil de nouvelles « Les empêchements ».

Isabelle Flaten est l’invitée de la librairie Soif de lire (11 rue Finkmatt à Strasbourg) le jeudi 31 mai à partir de 19h.

Les échos

« Quinze nouvelles délicates, qui racontent la vie quotidienne, les peurs, les faiblesses, les failles, le sexe ou l’amour. »
(Tu lis quoi? – 4 avril 2013)

Lecture et commentaires par le Club des lecteurs du 120 Grand’Rue
(Club des lecteurs du 120 Grand’Rue – Lire l’article)

Une chronique dans l’émission littéraire Paludes (Radio Campus Lille)
(Nikola – Paludes – 15 juin 2012 – Ecouter l’émission)

« Les mots sont justes, percutent, permettent de formaliser ce qu’on pressent confusément sans parfois parvenir à le formuler »
(Valérie Richard – L’Est Républicain – 6 juin 2012 – Lire l’article)

« On peut dire que ça déménage dans nos cerveaux! »
(Librairie Soif de lire (Strasbourg) – Lire l’article)