Un fils de pub aux abois
de Natalia Moret
Traduit de l'espagnol (Argentine) par Marianne Millon
Date de parution : | 2 mai 2014 |
Nombre de pages : | 440 |
Prix : | 23 € |
ISBN : | 978-2-918619-20-8 |
Genre : | Roman |
Collection : | Fonds noirs |
Le livre
Fou de sexe, de drogues et d’argent facile, Javier Franco est un jeune publicitaire aussi cynique qu’ambitieux. Mais à cause de son ancienne maîtresse, qui a mystérieusement disparu, il ne parvient pas à rembourser une dette. Son besoin d’argent le pousse alors à accepter l’invitation d’un nouveau client, riche homme d’affaires qui l’entraîne dans une virée sordide au cœur d’un lieu de débauche d’un genre inédit. Le lendemain, sonné par toutes les substances qu’il a ingurgitées, Javier ne se souvient de rien. Quand il reçoit des photos qui le montrent couvert de sang près d’un corps démembré qu’il croit identifier, un nouveau cauchemar commence.
L’auteur
Natalia Moret est née à Buenos Aires en 1978. Sociologue de formation, elle a publié de nombreuses nouvelles dans des anthologies et des revues. Avec Un fils de pub aux abois, elle s’inscrit dans la lignée des maîtres nord-américains du roman noir tels que Dashiell Hammett, Raymond Chandler et Jim Thompson.
Echos
« Un délire paranoïaque assez jouissif, teinté de drogues et de sexe, qui explose dans un final machiavélique »
(Blog Les filles électriques – 4 février 2015 – Lire l’article)
« Un très grand thriller, déjà par sa forme, une narration haletante, hachée, qui convient parfaitement à l’ambiance et la situation, et par l’histoire bien déjantée qu’il nous fait vivre… »
(Webzine Quatre Sans Quatre – 24 octobre 2014 – Lire l’article)
« Son roman se dévore plus qu’il ne se lit. Natalia Moret est en passe de devenir un grand nom du polar. Son roman peut rivaliser avec les plus grands ténors de la littérature policière américaine. Un fils de pub aux abois est prenant et même haletant dans un style d’écriture efficace faisant place à l’action, aux dialogues et aux réflexions par moment presque hallucinées de Javier Franco. »
(Teddy Lonjean – Un dernier livre avant la fin du monde – 14 août 2014 – Lire l’article)
« De la poudre, du sexe, de la folie, du doute, des moqueries, du Gin, de la poudre, des flingues, de la danse, des parfums, des embrouilles, de la pub, de la poudre, des visites, du gratin, de l’argent, des coups de téléphone, un chat, de la poudre… Déroutant. »
(Elise Lagarde – Librairie L’Usage du Monde – Strasbourg – 18 juin 2014 – Coup de coeur – Lire l’article)
« Le portrait d’un jeune homme sombre, paranoïaque et cynique, qui nous rappelle le glaçant Bateman d’American Psycho. Un fils de pub aux abois décrit le micro-monde des agences, le pouvoir et les escroqueries, et en profite pour jeter quelques ampoules au vitriol sur une société égoïste, presque désincarnée, sur un air d’accordéon grinçant. »
(Didier Rougeyron – Radio Lyon Première – 26 mai 2014 – Ecouter la chronique)
« Natalia Moret ne contrevient pas à ces ambiances interlopes, et même, devrait-on dire, elle y ajoute encore un degré supplémentaire de jubilation, tant par le déploiement des registres de langue (la crudité est omniprésente mais elle côtoie une impressionnante précision dramatique) que par la description d’une réalité insoutenable qui se dégage de ce tableau de violence »
(Grégory Mion – CritiquesLibres – 20 mai 2014 – Lire l’article)