Casa Balboa – Chronique d’un désordre ordinaire
de Mario Rocchi
Traduit de l'italien par Sylvie Huet
Illustration de Baladi
Date de parution : | 18 mars 2010 |
Nombre de pages : | 252 |
Prix : | 19 € |
ISBN : | 978-2-9530540-8-8 |
Genre : | Roman |
Le livre
Amateurs de bluettes, de romances à l’eau de rose et d’historiettes convenues, passez votre chemin! Sabre au clair, dans un style proche de Bukowski et de Fante, Mario Rocchi suit le destin de M. Balboa, clown triste : il ne comprend plus ses enfants, son couple bat de l’aile, ses amis ne sont plus tout à fait les mêmes et l’Italie a changé. Fort heureusement, au milieu de ces drames à l’italienne, il reste à ce libertaire vieillissant et obsédé sexuel infatigable, l’amour passionné d’Otto… son chien. L’exubérance de Benigni, la truculence de San Antonio et le tragi-comique de Fellini dynamitent la nostalgie et la colère de ce contempteur d’un naufrage familial et social.
Drôle et puissamment corrosif, Casa Balboa plonge dans la culture populaire italienne, dans sa langue crue et nous offre une potion anarchiste, un bain de soleil.
L’auteur
Mario Rocchi est né et vit à Lucques, en Toscane. Journaliste culturel à La Nazione, grand quotidien de Florence, il est aussi critique d’art et de cinéma et dirige la revue La linea dell’occhio consacrée au septième art.
C’est en 2003 qu’il publie son premier roman : Diario imprevisto di un serial killer ; suivront Si, o forse en 2004, Maledettamente mia en 2005, Casa Balboa – Cronache di ordinario disordine en 2006, Le storie di Casa Balboa. Il film a luci rosse en 2007, Merde di razza en 2008, Amore en 2009.
Ses romans construisent une satire sociale de l’Italie actuelle et se caractérisent par un comique dévastateur, hâbleur, solaire, cru.
Interview (en italien) de Mario Rocchi à l’occasion de la publication de Casa Balboa en Italie :
L’illustrateur
Auteur de nombreuses bandes dessinées, parues entre autres chez Atrabile, à La Cafetière, aux Requins Marteaux, chez Delcourt et à l’Association, Baladi crée des univers foisonnants où l’étrange tutoie l’absurde.
Les échos
« drôle et caustique »
(Librairie 47 degrés Nord (Mulhouse) – Février 2013 – Coup de coeur)
« un livre amer et joyeux, réjouissant et désabusé »
(Anne-Françoise Kavauvea – De seuil en seuil – 29 août 2010 – Lire l’article)
« Jubilatoire ! »
(Librairie Chapitre 8 (Strasbourg) – Juillet 2010)
Une émission sur Casa Balboa – Chronique d’un désordre ordinaire
(La Petite Librairie (Brest) – Radio Neptune – 15 Juin 2010 – Ecouter l’émission)
« Dans ce livre au ton cru et désinvolte, tout le monde en prend pour son grade »
(Librairie Les Petits Papiers (Auch) – Juin 2010 – Lire l’article)
« Mario Rocchi canarde avec une irrévérence et une familiarité langagière réjouissantes »
(Fabien Bidaud – La Voix du Nord – 17 mai 2010 – Lire l’article)
« Désopilant »
(Librairie Le Matoulu (Melle) – 6 mai 2010)
« Cette fresque colorée et exubérante de l’Italie contemporaine s’offre en plus le luxe d’une fin digne des grands poètes romantiques avec une ode désespérée à la vie à ne manquer sous aucun prétexte! »
(Le blog de la librairie Caractères – 25 avril 2010 – Lire l’article)
« C’est drôle et mordant, ça fait du bien et, ce qui ne gâche rien, c’est bien écrit »
(De Bloomsbury en passant par Court Green – 15 avril 2010 – Lire l’article)
« Une balade italienne à la San Antonio (pour le verbe et les femmes) avec en prime, un chien qui, à lui seul, rachète le genre humain… »
(Stéphane – Seren Dipity – 14 avril 2010)
« Une bouffée d’oxygène « politiquement incorrect » »
(Stefano Palombari – L’Italie à Paris – 30 mars 2010 – Lire l’article)
« Etonnant, ravageur, décoiffant, iconoclaste, énervant, réjouissant, fort drôle, bref un livre à découvrir sans tarder »
(Librairie Quai des brumes (Strasbourg))
« Irrespectueux, irrévérencieux, c’est à mourir de rire! »
(Gilles Million – Librairie L’Usage du Monde (Strasbourg-Cronenbourg) – Chronique sur France Bleu Alsace (16 mars 2010) – Ecouter)
« Une écriture corrosive et virevoltante »
(Thomas Flagel – Le blog de POLY – 15 mars 2010 – Lire l’article)